À propos...
Me voici!
C'est avec grand plaisir et beaucoup d'humilité que je t'accueille dans ce tout nouveau programme "Intègre ta vitalité!"
Je m'appelle Geneviève, je suis maman de trois magnifiques adolescents, je suis née avec un handicap visuel et je suis passionnée par la vie, l'être humain, la santé, beauté, l'humour, le sport, la bonne bouffe et tant de choses encore!
Je suis Naturopathe, j'ai un certificat en psychologie, un autre en accompagnement psychospirituel, je suis Maître en soins énergétiques Tzifa. Je suis autrice de deux livres, conférencière et accompagnatrice.
Ce sont de beaux diplômes et de belles réussites, mais je crois qu'en tout premier lieu, c'est mon parcours de vie, mon coeur et mon sens de l'intégrité qui font de moi la femme que je suis. L'amour, l'accueil et le non-jugement font partie des valeurs premières qui dirigent mes choix et ma vie.
Je suis donc très heureuse de te proposer ce programme la fois simple et riche en contenu et en connaissances, qui te permettra, si tu le souhaites, de reprendre le pouvoir sur ta vie et sur ta santé globale, un pas à la fois.
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Je t’invite à ressentir l’excitation des débuts, comme lorsqu’un enfant reçoit un cadeau ou se prépare à partir en vacances.
Tu es ici au point de départ de la nouvelle existence que tu crées, afin de te permettre de vivre la vie dont tu rêves! Tu crées ton propre bonheur!🤩 Ce n’est pas banal! Ça démontre une volonté de changer et une capacité à te prendre en charge et à devenir responsable de ta vie.
À mon avis, c’est l’un des plus beaux cadeau que tu puisses t’offrir. Il y a le contenu de ce livre, bien sûr, riche en connaissances, en réflexions et en propositions de toutes sortes; et il y a également le constance, la cohérence et la confiance, que tu investis en ce beau projet de Santé et de Vie!
Valeurs qui sous-tendent ce programme:
Au niveau de la santé, je crois fermement que tout être vivant possède un pouvoir auto-guérisseur et que celui-ci se met en action dès que l’on plonge l’organisme dans des conditions propices à son activation. Ces conditions sont essentiellement les facteurs naturels de la santé et ceux-ci ont été édicté grâce à l’étude et l’observation scientifique.
C’est ainsi que furent émis les principes d’un mode de vie sain tels que prônés par l’approche hygionomiste en naturopathie. À cela, ajoutons que l’hérédité, soit le potentiel d’énergie vitale que reçoit un organisme à la naissance, vient colorer l’application de ces règles. En effet, nous naissons avec ce que nos parents nous ont légué sur le plan de la vitalité de base et sur le fonctionnement des organes. Pour le reste, notre santé tient essentiellement à notre façon de vivre, c’est-à-dire, la façon dont nous appliquons, dans notre vie, les facteurs et agents naturels de la santé.
Je crois donc que nous avons tous le droit de s'attendre à vivre une vie en santé; une vie où les facteurs naturels de la santé sont mis à l'honneur, afin de permettre le fonctionnement correct de tous les systèmes du corps.
Je crois que nous sommes constitués d'une énergie vitale: une force de vie qui crée, restaure et maintient la vie en soi. De façon autonome, notre corps respire, digère, guérit et accomplit des milliers de fonctions sans que l'on y prête la moindre attention consciente.
Cette vitalité qui nous constitue est maintenue et restaurée par un mode de vie sain, par l'adoption de saines habitudes de vie et par des connaissances et des choix qui aident à renouveler et restaurer cette dernière.
Le programme "Incarne ta vitalité!" est conçu pour te permettre de mettre en place de nouvelles habitudes qui tiendront compte de ta santé globale et donc, de toutes les facettes qui composent ton être.
Créé pour être à la fois simple et efficace, j'ai mis en place plusieurs moyens pour te permettre d'agrandir ta conscience de toi et surtout, de toutes les différentes sphères qui s'entrecroisent pour te permettre de conserver un état de santé optimal dans les conditions de vie que tu as actuellement.
Tu es la sommes de ton corps, de ton esprit et de ton énergie vitale (que je situe au niveau du coeur). Toutes ces parties de toi travaillent de concert afin de te permettre de conserver un état de santé optimal.
Ce programme est donc conçu pour t'aider à prendre la responsabilité de toutes les parties de toi, dans la bienveillance, l'amour et la joie.
Je suis heureuse que tu prennes ce temps pour te permettre d'apprendre, de comprendre et de prendre action pour amener ta vie vers la santé optimale que mérites!
Bienvenue!
Explication de la démarche
Qu'est-ce que je dois faire?
La bonne nouvelle, c'est que tu ne dois rien faire!
Je t'invite à choisir de t'investir dans cette démarche, non pas par obligation, mais par choix: un choix conscient de bienveillance et d'amour envers toi.
Ça te semble peut-être abstrait, mais disons pour commencer que chaque fois que tu prends soin de toi, chaque fois que tu es à l'écoute de tes besoins ou que tu t'observes avec bienveillance plutôt qu'avec un jugement négatif, tu as de l'amour pour toi.
Alors ces prochaines semaines, je t'invite à trouver du temps pour t'investir avec bienveillance afin d'améliorer tes connaissances, ta conscience et tes compétences au sujet de ton état de santé global.
Voici ce que je t'invite à faire chaque jour.
1- À l'aide de ton journal de bord, tu es invité à lire et à choisir une habitude saine (quotidienne) à ajouter à ta routine de vie. Le journal de bord te permettra d'observer et de noter ce que cela change à ta vie.
2- À chaque jour, tu es invité à lire un texte qui te permettra de réfléchir et d'approfondir ta conscience et tes connaissances en lien avec la santé globale.
3- À l'aide de la méditation guidée, je t'invite à prendre un temps de pause quotidien pour te réaligner à tes intentions, à tes désirs et à l'essence de ton être.
La mise en place de ces trois étapes te permettent de développer une hygiène de vie saine et d'expérimenter un retour vers la santé en sollicitant tant tes sens, ton esprit, que ton coeur.
Je te souhaite un magnifique voyage vers toi!
Sois heureux et sois fier de qui tu es! J'ai confiance en toi!
*Note: Au début de chaque semaine, un onglet blanc te donne accès aux différentes parties (méditation, textes à lire et journal de bord).partie, afin de t'éviter de chercher. J'en ai créé un pour chacune des quatre semaine du programme et tu peux t'y référer.
Au plaisir!
Geneviève 💫
Tu trouveras ici les textes en lien avec la semaine I
Texte semaine I - Jour I
La blessure Aujourd’hui, nous abordons notre parcours en santé psychospirituelle. Je traiterai des différentes étapes qui nous mènent vers la connaissance et la guérison de ce qui peut améliorer notre santé psychospirituelle.
Comme tu peux le lire dans le titre de ce texte, la première partie de ce chemin de retour vers la santé s’intitule « la blessure ». Je te souhaite donc une très bonne et fructifiante lecture. « Une blessure physique peut être superficielle (une égratignure) ou profonde (une plaie ouverte). C’est exactement la même chose pour une blessure émotionnelle. Par exemple, une situation donnée ou une interaction avec une personne peut causer une blessure à la partie de moi qui se socialise et qui interagit avec les autres. Cela peut m’affecter légèrement, pendant un petit moment (par exemple, j’oublie une partie de mon texte pendant un oral) ou, encore, cela peut m’affecter de façon importante (par exemple, on menace ma vie avec une arme).
Ça nous permet de comprendre qu’une blessure, même si on ne la voit pas, peut laisser des traces et des conséquences importantes. Ça nous permet aussi de savoir que notre cerveau, comme le corps pour une blessure physiologique, met tout en oeuvre pour nous protéger, afin de nous éviter de souffrir à nouveau. « Mais qu'est-ce qu'on est bien fait!!! » C’est rassurant de savoir que notre « mode par défaut » est un mode sécuritaire. Au-delà de ça, si je ne prends pas soin de mes blessures physiologiques, elles peuvent, à la longue, s’infecter.
En effet, si mon corps met des mécanismes de survie en place, il reste qu’à plus ou moins long terme il se peut que je doive prendre en charge certaines fonctions pour stimuler la guérison et éviter l’infection. Il en est de même pour les blessures psychospirituelles. Ces blessures peuvent cristalliser des parties de mon mental et, si je n’en prends pas soin, si je ne stimule pas le mouvement de guérison, elles peuvent s’infecter elles aussi…
Les blessures sont donc un mécanisme de protection du corps pour nous permettre de survivre lorsqu’il y a un changement dans notre écosystème. Perçues de cette façon, elles ne sont pas négatives. Elles sont plutôt un système 2 Aménagement intérieur simple de défense efficace. On pourrait donc dire qu’on parcourt toute notre existence en expérimentant des blessures, tant sur le plan physiologique que sur le plan psychospirituel.
Comme on essaie généralement de prendre soin de notre corps et de guérir les plaies avant qu’elles ne s’infectent, je crois qu’il est également intéressant de faire de même avec les blessures qui ne sont pas visibles à notre oeil, mais qui n’en sont pas moins bien réelles. Ça demeure tout de même un grand défi. Premièrement, parce qu’on ne les voit pas. Ensuite, parce que mon mode « par défaut » m’inspire à ne pas penser à ce qui me fait souffrir pour me « protéger ».
Pour prendre soin de mes blessures, j’ai donc intérêt à reconnaître qu’elles existent. J’ai intérêt à dépasser mes mécanismes de défense et à accepter de regarder la réalité telle qu’elle est. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
La conscience, la connaissance et l’observation de soi sont donc des clés qui nous permettent de porter un regard bienveillant sur soi et sur notre réalité actuelle. J’ajouterais que ces dernières causent des résistances en nous lorsqu'elles sont mal ajustées. Ces résistances font que l’on a parfois de la difficulté à décider et maintenir des actions et des attitudes qui sont bonnes pour nous. Qu’en penses-tu?
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Texte semaine I - Jour II
Le pardon
Le pardon peut sembler inatteignable pour certaines personnes, ou encore, pour d’autres il s’offre généreusement et avec une facilité déconcertante. Je crois toutefois que le pardon est une étape nécessaire au maintien et à la restauration de la santé psychospirituelle.
À mon avis, le pardon sert avant tout à se libérer de ce qui nous enchaîne: blessures, émotions négatives, maux physiques, etc. Surtout, à mon avis, le pardon ne veut pas dire oublier les situations blessantes ou restaurer des liens à tout pris.
Je vais le redire, à mon sens, le pardons sert d’abord à se libérer soi-même des chaînes qu’une blessure a créé en soi. Le pardon signifie donc, pour moi, retrouver sa liberté intérieure et donc, sa capacité d’aimer. De ce point de vue, le pardon débute tout d’abord en soi. Il est une étape importante de lâcher prise face aux blessures que l’on expérimente. À mon avis, il permet de prendre un recul faces à celles-ci: à se dés identifier d’elles…
« J’ai alors commencé à observer ma vie (mon parcours et aussi mon quotidien) avec une tout autre perspective (un peu comme si je me redécouvrais). J’ai commencé le chemin de l’acceptation de soi, une route unique à chacun et qui met en relief notre unicité et notre sensibilité. Elle stimule l’écoute de soi, l’intuition et le pardon. Le pardon fut une des premières étapes de cette route de l’acceptation de soi.
Je vais te raconter ce que j’ai appris au sujet du pardon et ce que cela m’a permis de guérir en moi, à travers mon histoire. Je suis donc, depuis ce temps, en apprentissage pour me connaître. […] Cela m’amène à réaliser que les repères que j’avais créés à l’extérieur s’installent lentement à l’intérieur de moi. C’est déstabilisant et insécurisant. C’est comme si je me rencontre pour la première fois. Je laisse aller les programmations du passé pour me permettre de me connaître, c'est-à-dire apprendre ce que j’aime et ce que je n’aime pas, apprendre à répondre à mes besoins, ainsi qu'apprendre à me responsabiliser et à mettre mes limites. Cela m’amène aussi à faire des démarches de pardon. Ça s’impose à moi comme une évidence et j’ai donc débuté avec la petite fille en moi. J’ai écouté son histoire. J’ai écouté sa peine et sa peur. J’ai pris le temps de la consoler et, si elle avait eu l'impression que je l'avais abandonnée, je lui en ai demandé pardon. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Et toi, as-tu des pardons à faire, pour guérir des blessures?
As-tu des maux à laisser aller pour retrouver ta liberté?
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Texte semaine I - Jour III
L’ouverture à soi
Cette thématique que nous abordons aujourd’hui est importante, au sens où elle nous permet d’évoluer dans la vérité de notre être. C’est un cadeau précieux que de s’offrir la connaissance de soi, dans un monde où tout nous porte vers l’extérieur: la distraction, la productivité, etc.
Mais au fait, c’est quoi, l’ouverture à soi? Je te propose quelques pistes de réflexion sur le sujet:
« Pour moi, cela implique de développer plusieurs qualités. Avant tout, il est important d’avoir le souci d’être authentique (d’accepter de faire la vérité sur soi et en soi). C’est certain qu’on y rencontrera le beau et le moins beau, mais comme toute vie est en mouvement, ça passera, ça aussi! ;-)
Ensuite, il est primordial d’accepter de faire preuve de vulnérabilité. Pour moi, la vulnérabilité est un mélange d’authenticité et de courage. Je me reconnais tel (ou telle) que je suis et j’accepte d’y faire face.
Finalement, pour être à l’écoute de soi, il est à mon sens nécessaire d’être capable d’être en silence. Je ne parle pas simplement d’éteindre la télé ou de fermer les réseaux sociaux (même si c’est clairement un bon départ 😁).
Ma vision du silence est plus large et implique d’être capable d’observer ce qui se passe en soi. (Je parle, par exemple, des ressentis dans le corps, de la conscience de mes émotions ou du fait de prendre acte du flot incessant de mes pensées.)
C’est ainsi, avec un mélange d’authenticité, de vulnérabilité et de silence, qu’on arrive à développer l’écoute de soi. »
[…]
J’arrête d’être ce que les autres attendent de moi. J’arrête de chercher à l’extérieur des réponses qui ne sont vraies et valables pour moi qu’à l’intérieur. Me voici donc capable d’actualiser ce concept de l’ouverture à soi. Les masques tombent, les armures s’effritent doucement et je prends consciemment place à l’intérieur de moi. C’est un peu comme si, au lieu de me regarder de l’extérieur et de me percevoir à travers le regard des autres, je déplace l’attention en moi, pour observer le monde à travers mes propres yeux.
De deux choses l’une, premièrement, mon regard n’est plus fixé sur moi : il prend racine en moi, et, deuxièmement, mes inspirations et mes actions deviennent donc alignées avec « Moi », avec la personne que je suis. Je suis de plus en plus ouverte à ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de moi et ceci, dans une perspective plus saine basée sur le développement de l’acceptation de soi. »
À mon sens, l’ouverture à soi est une composante importante de la santé psychospirituelle. Elle ne s’achète pas, elle se découvre et c’est en prenant du temps avec toi que tu pourras découvrir et accueillir l’être merveilleux que tu es."
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Je te souhaite une belle rencontre avec toi-même! Je te souhaite l’authenticité, la vulnérabilité et tout le courage dont tu as besoin pour débuter cette route.
Tu verras, la liberté te donnera des ailes pour la suite!
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Texte semaine I - Jour IV
La connaissance de soi
"Pour aborder cette notion et la rendre concrète à notre vie, partons du point précédent : l’ouverture à soi. À l’intérieur de ce concept, nous retrouvons la vulnérabilité, l’authenticité et le silence. À mon sens, ces ingrédients sont nécessaires au fait de développer une attitude d’ouverture par rapport à soi.
Nous avons tous une histoire qui nous a parfois demandé de se protéger (de protéger notre enfant intérieur) en adoptant différents masques et en les intégrant parfois à notre identité. L’ouverture à soi est un peu comme la tombée des masques. Elle permet à ton essence de se révéler. (C’est un peu comme lorsque je parle de ton enfant intérieur… Lui, c’est ton essence.) ;-)
[…]
Dès lors, se présente à moi le défi de la connaissance de soi. Oui, parce qu’une fois le dialogue entamé avec mon enfant intérieur, lui, il ne veut pas arrêter de parler et il veut aussi que je l’écoute! Est-ce que ça me tente? Pas tant, non! Parce que je suis habituée à mes discours intérieurs familiers (ceux des masques et des armures)...
J’avais développé tout un lot de croyances et d’habitudes en lien avec ces derniers et le changement me faisait vraiment peur. Alors, je me suis dit : « Commence par des petites choses! » Si tu veux devenir pleinement toi-même et incarner ton Essence, fais de petits pas à la fois et tu verras bien comment tu te sens et comment ça résonne en toi. Comme on le dit souvent : « C’est de l’autre côté de la peur que se trouve la liberté ».
Je peux te dire que, cette peur-là, j'ai l'impression qu’elle prend toute la place et qu’il n’y a pas un « autre » côté! 🤨
C’est ainsi à partir de là que j’ai lentement appris à développer les outils de la connaissance de soi : l'observation, la conscience et l’intégration. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Ces outils te permettent de développer un recul face à ton système de valeurs, de croyances et aussi face aux émotions que tu traverses, parce que disons-le, elles sont parfois franchement envahissantes!
L’ouverture à soi, c’est donc le fait de te percevoir et de t’accueillir tel que tu es! C’est un magnifique cadeau que tu peux t’offrir! C’est comme le point de départ pour ensuite créer la vie que tu souhaites expérimenter!
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Texte semaine I - Jour V
Le sens à la vie
« Probablement un peu plus clair pour toi à cette étape-ci, le sens à la vie se veut une Direction que tu souhaites donner à ta vie. Plus qu’un tournant ou un changement de direction, le sens à la vie est l’élan global qui motive ton existence.
De façon évidente, je n’avais aucune idée du sens que je souhaitais donner à ma vie, lorsque je me sentais envahie par mes blessures. (Et bien que je reste un être cicatrisé😉, je peux tout de même t’affirmer que j’ai pris le temps de guérir beaucoup de parties de moi qui étaient blessées.) J’ai pris le temps de faire la Vérité et la Paix en moi. J’ai pris le temps de m’accueillir telle que j’étais et j’ai pris le temps de prendre la responsabilité de ma vie. Ceci dit, tout ce chemin parcouru me permet aujourd’hui de reconnaître mon Essence ou, comme je l’écrivais plus haut, l’Élan global qui motive mon existence.
Lorsque j'étais toute jeune, j’aurais aimé qu’une fée descende d’un nuage de poussière d’étoiles pour me révéler cette Essence qui me définit. J’aurais aimé qu’on me prenne par la main et me montre un chemin dans lequel ma voie aurait été toute tracée.
Mais, maintenant, maintenant que j’ai parcouru tout ce chemin, que j’ai appris à me connaître, à pardonner, à guérir, à m’aimer telle que je suis… Maintenant, je ne souhaite plus que personne ne me montre la voie à suivre. Cette voie, elle est inscrite en moi. Cette voie, elle s’exprime par tout ce qui m’inspire, me passionne, me rend heureuse. Elle apparaît en tout ce que je crée et en tout ce que j’imagine. J’oserais écrire que cette voie transparaît par ce livre qui m’est inspiré et qui, je le souhaite, t’inspire aussi. Dans un souci d’être claire, ce que j’essaie d’exprimer, c’est que, lorsque tu te connais, que tu t’acceptes tel (ou telle) que tu es et que tu portes sur toi un regard bienveillant, ton Essence se révèlera de l’Intérieur. Elle se manifestera par tes goûts, tes désirs, tes rêves et tout ce qui te passionne. Elle se manifestera par l’Écoute de cet enfant qui a guéri en toi. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Bonne guérison et bon chemin vers toi! En espérant que cette première semaine t’inspire à mettre de côté les peurs ou les résistances qui t’empêchent peut-être d’évoluer vers la vie que tu souhaites expérimenter!
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Tu trouveras ici les textes en lien avec la semaine II
Texte semaine II - Jour I
La vitalité!
La vitalité est cette force vitale qui anime ton corps et tout ton être. Dans le dictionnaire [ Le Robert ] on la définit comme le « Caractère de ce qui manifeste une santé, une activité remarquables. ➙ dynamisme, énergie, vigueur. La vitalité d'une personne, d'une plante. Plein de vitalité. ➙ vie." Ainsi, une personne qui possède une bonne vitalité manifeste donc des signes de santé évidents au niveau de son corps. On pourrait traduire cela par « elle a de l’énergie! »
Et alors, comment fait-on pour retrouver cette qualité de vie d’être une personne qui a de l’énergie? Nous aborderons ce sujet cette semaine en lien avec la santé du corps, ce deuxième pilier que nous approfondissons.
« Si aujourd’hui je peux témoigner que la santé de mon corps me tient à coeur et qu’elle est une perspective importante des choix de vie que je fais, il n’en a pas toujours été ainsi. En même temps, ce n’est pas tout à fait exact, car j'ai toujours eu de l'intérêt, voire une préoccupation pour la santé biophysiologique (c'est-à-dire celle de mon corps dans un meilleur vocabulaire). ;-)
Toutefois, je ne percevais pas ma réalité telle qu’elle était. En fait, je crois que je ne me sentais pas capable d’y faire face. Par conséquent, je me créais toutes sortes d’excuses pour me divertir et pour ainsi maintenir à ma conscience une réalité alternative. Je m’efforçais de ne pas porter mon attention sur ce qui aurait pu remettre en question les choix que je faisais (et ceux que je ne faisais pas) et je demeurais alors dans une certaine illusion au sujet de l’état de ma santé physique. Donc, tu aurais pu m’observer d’un oeil extérieur et juger mes choix.
[…]
Tu aurais pu me dire que je gérais mal mon sommeil, que j’avais peu de temps de loisirs, que je vivais trop de stress, que ce que je mangeais était néfaste pour le bon fonctionnement de mon corps. Je vais te dire un secret... J’aurais pu faire le même exercice que toi et arriver aux mêmes conclusions. Et qu’est-ce qui fait que je me maintenais dans cet état de santé précaire? Ce n’est pas que je n’avais aucune connaissance.
[…]
Comme la majorité d’entre nous aussi, je suis capable d’apprendre, de faire des choix et de maintenir ces décisions dans le temps, lorsqu’elles ont un sens pour moi. Le problème n’était donc pas dans ma capacité à prendre soin de ma santé.
À cette étape-ci, je n’ai aucune idée que ma santé physiologique se porte mal (consciemment, j'entends). Je suis plutôt dans un état de déni de la réalité qui me porte à faire des choix basés sur… je ne sais quoi.
Quelle est donc cette réalité qui me porte à négliger ma santé? Je vais, dans cette section, prendre le temps de tracer, avec toi, la route de mon retour vers la santé physiologique. Ce n’est pas un chemin avec des approches définies comme des « façons de manger », de s’entraîner ou de se détoxifier. C’est plutôt, comment le dire...
« La façon dont j’ai réussi à m’aimer assez pour me regarder telle que je suis (avec vulnérabilité et authenticité) et pour, par la suite, entreprendre le chemin de la santé. » Ce n’est pas un chemin tracé d’avance. Il n’est surtout pas en ligne droite, mais il est bâti sur l’Amour.
L’Amour de soi, comme Fondation à tout l’amour que je partage ensuite à travers l’Essence de la personne que je suis. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Et toi, comment évaluerais-tu ton état de santé physique à cette étape-ci?
Crois-tu que tu puisses porter un regard neutre sur la santé de ton corps?
As-tu les outils pour le faire? On se penchera sur ce sujet tout au long de cette semaine, alors je t’invite à laisser monter à ta conscience les « insights » ou éclairs de conscience qui ont un lien avec la santé de ton corps.
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Texte semaine II - Jour II
Nommer la réalité
C’est un exercice intéressant que de nommer la réalité. C’est en le faisant que l’on se rend compte de tous les biais que l’on entretient spams notre esprit et qui faussent noyer perception de celle-ci. Dans l’extrait d’aujourd’hui, tu y découvriras mes biais (en tout cas une partie de ceux-ci, afin de te permettre de mieux saisir combien ils peuvent avoir dans notre vie. Par la suite, tu pourras, si tu le souhaites, prendre la chance d’observer les tiens.
Ce sont eux, souvent, qui nous empêchent de voir la réalité telle qu’elle est et cela a de grandes conséquences sur les décisions que l’on prend et sur celles que l’on ne prend pas…
« Avec courage, j’ai donc entrepris de dépeindre une image de ma vie, c'est-à-dire celle qui reflétait ma réalité actuelle. Je savais qu’elle n’était pas figée. Je savais que je pouvais actualiser ce portrait et en créer une autre version, mais, pour cela, je devais avant tout saisir le point de départ, à savoir l’image avec laquelle je souhaitais travailler pour modifier ma vie. Pour te résumer le tout de façon concise, je pourrais te dire que mes racines (comme celles d’un arbre) étaient encore fragiles.
J’avais encore beaucoup de souffrance qui demeurait comme cristallisée en moi. SI j’avais fait de grandes prises de conscience et si j’avais accompli de grandes actions pour m’aligner avec la personne que je suis vraiment, il n’en demeurait pas moins que mes racines n’étaient pas ancrées à la terre et que les intempéries (extérieures) pouvaient grandement affecter ma survie. Entre autres, je prenais conscience qu’en général, dans mon quotidien, je faisais abstraction de mon corps, un peu comme s’il n’existait pas. Je ne m’en occupais pas. En fait, je devrais dire que je le négligeais.
Bien entendu, je ne m’en rendais pas compte, parce que j’avais érigé des mécanismes de protection pour ne pas en prendre conscience. Je ne crois pas que j’entretenais une haine pour mon corps. Simplement, je crois qu’il était (potentiellement) trop puissant pour ce à quoi j’étais capable de faire face à l’époque.
Comme je ne voulais pas être connectée à ma grande sensibilité, je ne la laissais pas s’exprimer à travers mon corps. Je ne m’occupais pas des messages qu’il m’envoyait. Je ne lui accordais aucune importance et j’engourdissais mes ressentis. Ce temps d’arrêt, donc, m’a permis de nouer une relation avec mon corps. J’ai pris le temps de m’observer et de le faire avec réalisme, c'est-à-dire de regarder la personne que j’étais.
Ce n’était pas facile, parce que les premières choses que je remarquais étaient les différences que je jugeais comme étant négatives. Je percevais donc surtout le handicap visuel à travers mon regard et aussi un surplus de poids à travers la forme de mon corps. C’était extrêmement difficile pour moi d’affronter cette réalité sans me donner d’excuses, sans fuir et sans me laisser submerger par des émotions négatives.
Cependant, comme j’étais décidée à transformer mon regard (ou ma perception de moi), j’ai choisi de me regarder avec amour. Au départ, je me suis positionnée comme une personne extérieure, comme si je me présentais à moi (l’observatrice) pour venir accueillir de l’aide.
Je ne pouvais donc pas fuir avec mes excuses habituelles ou m’autosaboter par des pensées toxiques. J’étais en relation avec une personne qui m’aime et qui souhaite m’aider. Je pouvais être vulnérable, parce que j’étais en sécurité avec elle. Je pouvais alors me regarder pour vrai et lui dire la vérité. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Peux-tu faire l’exercice de nommer des croyances qui t’empêchent de te voir tel.le que tu es? Peux-tu nommer des croyances actives en toi qui font que ne prends pas soin de ta santé physique comme tu le pourrais?
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Texte semaine II - Jour III
Accepter la réalité avec bienveillance
On pourrait aussi dire: il y a des parties de moi que je ne sais pas comment aimer. Ce n’est pas si simple de s’aimer. on a pas reçu de mode d’emploi et ce n’est pas non plus très concret comme la cuisine, la construction ou le dessein par exemple. Comment décrirais-tu ta relation avec ton corps?
« Aussi, c’est avec conviction, inspiration et vulnérabilité, tout à la fois, que j’ai entrepris ce chemin de me « voir » telle que j’étais. Non seulement je voulais nommer la réalité, mais je souhaitais également l’intégrer, puis l’aligner à moi. J’ai pris du temps avec moi. Je me suis connectée à un espace d’amour en moi (mon moi supérieur) et je me suis observée. Une fois la peur calmée, je me suis dit à moi-même : « Je t’aime Geneviève. Je vois tes yeux.
Tu les as toujours trouvés affreux, parce qu’on t’en a convaincu à force de te le répéter chaque jour lorsque tu étais enfant. Je vois ton corps. Tu le trouves trop lourd, trop faible et incompétent. Tu le perçois comme un ennemi et tu as fini par croire à cette affirmation à force de la ressasser inconsciemment. Aujourd’hui, regarde- toi avec amour. Regarde ce qui est là et essaie de voir autre chose que ce que tu as toujours cru vrai. »
J’ai donc observé mes yeux. Une fois le premier réflexe passé et que le calme se soit installé à l’intérieur de moi, j’ai écouté ce qui montait. De l’autre côté de la peur et du sentiment de honte, mes yeux étaient beaux. Ils étaient différents et ils ne voyaient pas de la même façon que ce que la majorité des gens voient, mais est-ce que ce n’est pas ce qui fait que le monde est plus beau?
Dans toute la nature, aucune espèce animale ne voit de la même façon que les humains et, chez plusieurs personnes, la vue ne se crée pas de façon conventionnelle non plus. Cette différence dans ma vision me permet de développer d’autres sens, d’autres habiletés et d’autres perspectives que celles que développe la majorité.
Ce temps de contemplation, que je vivais au-delà des émotions négatives et des fuites habituelles, me permettait de m’observer avec une perspective nouvelle. C’est un peu comme si je reprenais possession de cette partie de moi, un peu comme si je me donnais la permission de vivre avec le handicap qui existe dans mon corps. C’est puissant ce sentiment de reprendre le pouvoir sur sa vie. C’est guérissant de se donner le droit de vivre, dans des zones où tout était pratiquement mort.
J’ai ensuite fait le même exercice avec mon corps. Il avait, lui aussi, beaucoup d’interdits, beaucoup de douleurs et de fausses croyances. Je l’ai regardé avec amour et je lui ai dit : « Je t’aime. Je suis triste de t’avoir négligé et d’avoir douté de toi si longtemps. Qu’est-ce que je peux faire, maintenant, pour répondre à tes besoins et te permettre d’être épanoui? »
Cette réconciliation avec moi-même n’était que le point de départ d’un beau et grand chemin de guérison (un chemin de confiance en moi à bâtir pour apprendre que la réalité actuelle n’est que le reflet de ce que je crois être vrai). »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier.
Peux-tu nommer pour toi quelles sont les parties de toi qui ne sont pas en résonance avec la réalité, avec ta beauté et ta créativité?
Et as-tu ce désir de réconcilier toutes ces parts de toi avec une version plus vivante, plus accomplie, plus alignée à tout ton potentiel?
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Texte semaine II - Jour IV
Intégrer la réalité telle qu’elle est
Pour le dire autrement, je dirais que notre cerveau ne distingue pas ce que l’on croit vrai de ce qui l’est vraiment. C’est pourquoi il est important de porter attention à ce que tu consommes en matière d’information, d’évolution, de croissance personnelle, etc. Aussi, ce que tu crois vrai à propos de toi deviendra la réalité tangible que tu expérimenteras.
« C’est une intéressante image que d’utiliser le jardin pour parler de mon monde intérieur. Ça me permet de comparer ce qui se passe en moi (qui est, avouons-le, assez abstrait) à ce que la nature laisse émerger de sa terre. J’ai donc défriché toute l’ampleur de ma terre. Je l’ai labourée. J’y ai apporté de l’engrais, du compost et de l’eau. Je l’ai laissé reposer. Je l’ai exposée au soleil et, surtout, j’en ai pris soin avec amour.
Bon! C’est ben beau les images, mais, concrètement, ça veut dire quoi?
En fait, j’ai commencé par dialoguer avec mon corps, un peu comme s’il était une personne. Je lui ai dit : maintenant qu’on est ami, maintenant que, toi et moi, on sait qu’on s’aime et qu’on veut travailler en équipe, par où commence-t-on? Et j’ai surtout écouté. Ça peut sembler banal, mais ça reste un vrai défi d’apprendre à écouter son corps. C’est une phrase qu’on entend souvent, mais quand est-ce qu’on la met vraiment en pratique? Et bien, je me suis permis d’apprendre à le faire. Je me suis offert le cadeau d’apprendre à décoder son langage.
Aussi, j’ai réalisé que mon corps, au-delà de mes peurs et des croyances erronées que j’entretenais à son sujet, avait des envies et des besoins que je n’écoutais que très peu. J’ai réalisé que je m’étais coupé de ce que mon corps voulait communiquer, pour n’être à l’écoute que de ce que mes peurs voulaient bien propager. Oui, parce qu’on s’entend, une peur, ça ne fait pas que parler, ça monopolise toute l’attention par des ressentis et des émotions. Ça prend donc une place énorme au sein de notre vie, sans qu’on en soit vraiment conscient.
Plus subtile, la voix de mon corps se trouvait à l’extérieur des râles incessants de la peur. J’ai dû apprendre à la découvrir. J’ai commencé par être à l’écoute de ce qui m’inspirait. J’ai pris le temps de voir qu’au-delà des fausses croyances, la santé avait été, depuis mon plus jeune âge, un centre d’intérêt très important pour moi. Plus jeune, j’aurais aimé travailler dans un domaine médical, car j’aime naturellement aider les autres.
J’ai également été à l’écoute de ce que je lisais, de ce que je voyais et des gens qui croisaient ma route. À travers tout cela, une chose est ressortie : je souhaitais prendre soin de ma santé de façon naturelle. Je croyais fermement que chaque corps a un potentiel de guérison qui lui permet de retrouver un état naturel de santé. Je savais que mon corps avait ce potentiel lui aussi et je sentais que ce chemin serait inspirant pour moi.
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Comment te perçois-tu (en lien avec ton corps, tes talents, tes capacités, ton état de santé, etc? Quelle est ta relation avec ton corps?
As-tu appris à l’écouter, à le laisser s’exprimer, à répondre à ses besoins?
Comment crois-tu que cela peut changer ta réalité?
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Texte semaine II - Jour V
Actualisation de mon potentiel, de mon bien-être et de ma santé par la confiance en moi
"Toutefois, au-delà de tout cela, il n’en demeure pas moins que c’est à travers ma relation avec moi (mon corps, mon esprit et mon moi supérieur), que j’arrive le mieux à m’épanouir, à créer, à imaginer et réaliser la vie de mes rêves. J’ai mis en place dans ma vie une relation de bien-être avec moi-même. Je me suis créée de l’espace pour respirer et exister et non pas uniquement pour survivre à ma vie. Je peux dire que, chaque jour, je bouge, je nourris mon corps d’aliments vivants, je lui offre les vitamines et minéraux dont il a besoin, je l’hydrate et je le repose... La santé ce n’est pas un produit, une manière de manger ou un sport : la santé c’est ta façon de vivre. Tu incarnes la santé quand tu es en harmonie tant sur le plan physique, psychologique ou spirituel. Chaque jour, donc, je prends du temps pour me centrer, méditer, faire ce que j’aime. (De toute façon, mon travail me permet de faire ce que j’aime, aimer et rire!)
Ne t’imagine pas que c’est un équilibre parfait! Je ne suis pas réglée comme une horloge et toute ma vie n’est pas que fluidité et félicité! Ben non! Il y a des jours où tout va de travers! Il y a des événements qui me perturbent et qui perturbent ma routine, mon bien-être et mon émotivité. C’est correct! Tu sais, avoir le droit de vivre ses émotions, prendre le droit de se reposer ou enlever des trucs qu’on a à l’horaire, c’est signe d’adaptabilité et d’écoute de soi. C’est signe que la routine existe, qu’elle est installée, mais que ce n’est pas elle qui dicte la loi pour toi... C’est toi qui la choisis! Ceci dit, j’aime bien la routine. Par elle, je me sens ancrée et productive tout à la fois. Elle me permet d’accomplir ce qui est important pour moi, de vivre mes priorités avec moins de résistances tout en me sentant productive. Elle me permet l’illusion d’avoir une maîtrise de ma réalité. Toujours est-il que, petit à petit, mon style de vie s’est radieusement transformé et que, par cela, mon corps et ma relation avec celui-ci se sont également métamorphosés. J’ai pu constater que mon corps et mon esprit, maintenant amis et alliés, étaient beaucoup plus puissants que je ne l’imaginais. En plus, je me rendais compte que cette alliance me permettait de m’ouvrir à une autre dimension : la dimension énergétique de mon être. Elle s’éveillait comme la belle au bois dormant qui semble reprendre vie après un long sommeil. C’était sans doute la partie la plus difficile du chemin pour moi, parce qu’elle me demandait de créer des changements dans la matière (mon corps) et que c’est probablement ce sur quoi je croyais avoir le moins de pouvoir. J’ai donc apprivoisé ma puissance, non pas une puissance sauvage ou hors de contrôle, mais plutôt une puissance sage et lumineuse. J’ai découvert que mon corps et mon esprit savent utiliser sainement l’énergie dont je suis composée et que, lorsque j’apprends à décoder leur langage, c’est tout mon être qui en bénéficie. Je deviens plus ancrée, un peu comme si j’habitais plus entièrement mon corps, ce qui me permet de prendre confiance en mon potentiel humain. La confiance en soi est une capacité à avoir une vision réaliste de notre potentiel. Elle est bénéfique pour tout l’être, tant l’esprit que le corps. De plus, elle aide à manifester une attitude optimiste par rapport aux surprises, positives ou négatives, qui peuvent survenir au cours de notre existence. Une fois que j’ai repris le pouvoir sur mon état de santé physique, je sais, tout au fond de moi, que je peux compter sur mon corps et sur mes capacités pour maintenir l’équilibre de la santé et de la vie en moi."
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Es-tu d’accord que la confiance en soi ait un lien avec la santé de ton corps? sinon, quelle est ta perception?
Crois-tu qu’une perspective saine et positive de toi peut t’aider à défaire les résistances à prendre soin de ton corps?
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Tu trouveras ici les textes en lien avec la semaine II
Texte semaine III - Jour I
Qu’est-ce que l’énergie?
Une force, une onde ou une intention?
Pour aborder le sujet de l’énergie, je crois qu’il est important de bien situer notre perspective, mais également de bien définir les termes que nous utilisons. Ce texte sera peut-être un peu plus ardu, mais il a pour but de bien clarifier le contexte utilisé, ainsi que le sujet abordé.
« Tout d’abord, bien se situer en prenant une position claire…
Je commence par te signifier que, pour aborder cette question, je ne me situe pas dans un courant spirituel, religieux ou psychologique. Je ne me situe pas non plus dans une perspective ésotérique ou culturelle. Je tenterai d’aborder le sujet de l’énergie d’un point de vue scientifique (le courant développé par les physiciens quantiques).
Loin de moi est l’idée de m’improviser chercheuse ou physicienne (😨), bien que j’aie un grand respect pour leur qualité d’observateurs et de semeurs de vérité, ainsi que pour leur esprit curieux. Je me contenterai donc d’incarner le point de vue de spectatrice, qui, à la base, souhaite constater des faits qui permettent d’expliquer l’existence d’un phénomène ou d’une réalité. Cette perspective me permet de conserver un détachement émotif lié aux croyances que je peux avoir et de m’ouvrir aux possibilités qui sont éveillées par cette science (que je trouve personnellement extraordinaire). En effet, en tant qu’observatrice des phénomènes énergétiques dans ma vie et dans celle des autres, je peux témoigner que lorsqu’on comprend son fonctionnement et son potentiel, il est facile de constater la puissance et les merveilles qu’elle peut créer en soi.
[…]
Si tu suis toujours mon raisonnement, tu as certainement compris que cela était à la base impossible selon l’approche de la physique classique. Selon cette perspective, la matière ne peut être à la fois onde et particule, puisqu’elle ne se comporte pas de la même façon selon l’un ou l’autre des états. C’est donc cette découverte universelle et fulgurante (la dualité particule/onde), qui a permis à la physique quantique de faire peu à peu son entrée dans le monde scientifique. Einstein et ses confrères ont donc poursuivi l’étude de ce phénomène qui, encore aujourd’hui, n’est pas totalement compris ou exprimé.
Il est donc possible de constater que, du point de vue subatomique (les particules qui gravitent autour du noyau atomique), les particules n’ont pas les mêmes réactions prévisibles que les objets qui sont à notre niveau de perception (l’observation que l’on peut en faire avec nos sens physiques). Les électrons, par exemple, peuvent être ondes ou matière. Non seulement leur état peut s’altérer, mais en plus les recherches dans le domaine quantique révèlent que ceux-ci semblent réagir en ne tenant pas compte des dimensions de l’espace et du temps. Leurs réactions sont donc impossibles à mesurer ou à prévoir et demeurent imprévisibles. Le monde subatomique possède ainsi des qualités physiques et énergétiques. Leur tissu principal n’est donc pas constitué de matière, mais d’un schème vibratoire (un peu comme s’ils sont constitués d’un tissu énergétique).
[…]
Alors qu’est-ce qui peut bien avoir un impact sur mon tissu énergétique? Qu’est-ce qui détermine si la particule réagit comme de la matière ou comme une onde? La pièce manquante du puzzle que nous construisons présentement est l’observateur. Je m’explique. Dans la création de la réalité physique, les physiciens quantiques ont découvert que les électrons existent en une multitude de possibilités simultanées à travers leur tissu énergétique constitutif (ça veut dire qu’ils peuvent prendre n’importe quelle forme, peu importe le temps ou l’espace). Celui-ci (l’électron) ne devient matière que lorsqu’un observateur dirige son attention sur son emplacement (se référer à l’expérience de la double rainure). Autrement dit, une particule ne se manifeste dans la réalité qu’à partir du moment où elle est observée. Le terme scientifique qui désigne ce phénomène est l’effondrement de la fonction d’onde ou l’effet de l’observateur. Sous une autre formulation, j’écrirais que, lorsqu’un électron est observé, il y a un point précis dans l’espace et le temps où toutes ses probabilités s’effondrent, ne laissant place qu’à un seul événement physique. Depuis que cette découverte a été constatée, il devient donc impossible de dissocier la matière et l’esprit comme l’enseignait la physique classique. Ces derniers sont inextricablement liés.
[…]
Ainsi, si tout ce qui existe dans l’Univers est fait de particules subatomiques, comme les électrons, et qu’elles sont à l’état d’onde (état d’énergie) lorsqu’elles ne sont pas observées, alors elles sont potentiellement « tout et rien » et, à la fois, partout et nulle part, et ce, jusqu’à ce qu’elles soient observées. Autrement dit, si je peux imaginer qu’un de mes désirs personnels devient réalité (si je lui donne vie par le biais de mon imagination), alors ce désir existe déjà dans les possibilités du champ quantique. Il me reste à l’observer, c'est-à-dire à être l’observateur qui affecte le tissu énergétique qui crée la matière! (My God! J’écris comme une scientifique! 😅😂) Ma conscience affecte ma réalité, parce que les deux sont pleinement énergie, intrinsèquement liées à la matière.
Je suis (nous sommes) imprégnée de l’énergie, de la force vitale qui crée l’Univers.
Je suis (nous sommes) une partie de l’Univers. Il existe entièrement en moi, comme on retrouve toute la composition de l’océan en une goutte de son eau ou comme on retrouve l’entièreté de la composition de mon être à travers la lecture d’un brin de mon ADN. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
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Texte semaine III - Jour II
Qu’est-ce que ça change dans ma vie?
« TOUT! 😁»
C’est certain que j’ai un attrait particulier pour tout ce qui touche le monde de l’invisible, mais, au-delà de ça, j’ai eu l’impression qu’un tout nouvel univers s’ouvrait à moi, comme si d’autres dimensions existaient et que je ne les avais pas encore imaginées, que je ne les avais pas encore ressenties! Ce n’est pas tant le contenu théorique de ce que m’a expliqué la physique quantique, c'est davantage l’intégration de celle-ci dans ma vie qui m’a permis de me transformer. De ma compréhension rationnelle du fond et de la forme, je me suis permis d’accéder à une connaissance plus subtile : une connaissance qui provient de l’intérieur de mon être et qui a lieu au-delà de la perception de mes cinq sens et de ma capacité à comprendre; une connaissance plus subtile, qui me demande justement de lâcher prise sur ce que je sais ou ce que je crois et d’être à l’écoute de ce qui est (ce qui est et qui demeure en moi au-delà des tempêtes émotionnelles et mentales du quotidien). Qu’on l’appelle prière, méditation « pleine conscience » ou autre, c’est pour moi un chemin qui me permet d’accéder à cette lumière qui existe en moi. Ce temps de silence, que j’avais déjà mis en place dans mon quotidien, me permet maintenant d’accéder à un tout autre monde : à un nouvel univers!
Je prends un instant pour t’expliquer ce que les phrases ci-dessus produisent comme impact en moi. Un résumé rapide, mais qui illustre de façon concrète comment la physique quantique produit un impact sur ma façon d’envisager la vie. Je demeurerai dans un courant neutre de pensée (enfin, c’est mon souhait), mais vous pourrez y lire entre les lignes les prémices de bien des courants philosophiques, culturels, voire religieux.
1- Je suis UN avec tout ce qui EST. Je savais cela avec ma capacité à comprendre et j’avais déjà entendu cette phrase en différents contextes, mais maintenant je me permets d’observer comment cela résonne en moi. Je me permets d’accueillir, au-delà de mon être rationnel, les implications qu'une telle vision du monde comporte. Notamment, cela m’amène à porter un regard bienveillant sur le monde, puisque nous sommes tous composés de cette même force vitale. Nous avons tous la même origine, la même valeur, la même dignité.
Chaque personne que je croise, même celle qui me semble odieuse ou méchante, est animée de la même force vitale, de la même lumière que moi. Je suis aussi exceptionnelle que cette personne et je ne suis appelée à rien d’autre qu’à apprendre à laisser briller ma propre lumière, afin que celle-ci soit comme un aimant qui conduira l’autre (s’il le souhaite) vers la connexion à sa propre lumière intérieure. Je peux dire au revoir au jugement et à la condamnation. Je peux laisser les critiques et l’égo reprendre leur juste place. Plus je m’accueille totalement comme être constitué d’ombre et de lumière, plus je peux accueillir l’autre tel qu’il est et sans jugement. Plus j’apprends à m’aimer telle que je suis, sans masques et dans mon entièreté, plus je suis capable d’amour pour l’autre.
2- Il me reste à observer ce que je souhaite créer comme réalité. La conception quantique de l'Univers suppose que ma conscience a un impact sur la matérialisation des particules. Alors, en d’autres termes (plus clairs là😅), je suis invitée à nettoyer (à défricher) mon propre jardin intérieur, à y planter les fleurs que je souhaite y voir pousser et, surtout, à cultiver la confiance. Même si présentement je n'y vois pas encore les fleurs, je crois qu’un jour il y aura tout un jardin, une vaste terre fertile, contenant une variété de végétation luxuriante et épanouie.
Tout ce que cette nouvelle conscience éveille en moi me permet d’émettre l’intention globale de laisser briller ma lumière. Elle est ma source, mon essence. Elle fait partie de la constitution de mon être! »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Qu’est-ce que cette lecture produit en toi?
Est-ce que cela t’invite à transformer tes croyances face à toi? Face aux autres et face au monde dans lequel tu évolues?
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Texte semaine III - Jour III
La foi
On pourrait également dire « expérimenter la confiance », une petite phrase courte, mais lourde d’impact et de sens pour notre existence.
« C’est un grand défi que de discuter de la foi. On peut facilement constater qu’au cours de l’histoire de l’humanité la foi (avec la subjectivité et l’émotivité qu’elle évoque) a été reliée à de nombreux conflits, voire de nombreuses guerres. Ainsi, plusieurs perceptions, que nous avons acquises au sujet de celles-ci, sont teintées d’émotions, de croyances et d’expériences vécues.
Mon souhait, ici, est de me (nous) proposer de prendre conscience des prémices que nous avons acquises « par défaut » (par exemple l’éducation, les modèles sociaux, les expériences passées) et ensuite, de transcender ces acquis ou ces cognitions pour s’engager à explorer un modèle de pensée plus concise, générale et simple au sujet de la foi.
Mon souhait ne se situe donc pas dans la lignée de la transmission d’une vérité, mais plutôt dans l’espoir d’emprunter un chemin, que je souhaite tout d’abord objectif, pour discuter de la foi. En effet, en dehors de la culture, de croyances philosophiques ou religieuses, en dehors de courants de pensée, d’événements historiques, pouvons-nous porter un regard neutre ou transparent sur ce qu’est la foi?
[…]
J'amorce cette discussion avec la définition que propose le dictionnaire pour le mot « foi », question de se fonder sur un principe explicatif et rationnel.
Voici donc ce qu’on peut lire sous le mot « foi » dans le dictionnaire Larousse :
« Foi : féminin; latin : fides. Confiance absolue que l’on met en quelque chose. »
La confiance serait donc intrinsèquement liée à la foi. Et pas n’importe quelle confiance, une confiance qui est qualifiée d’absolue!😮 Elle est donc inconditionnelle, ne possède aucune limite ou réserve.
Au-delà de la lecture et de la compréhension intellectuelle de cette définition, je constate qu'on fait donc appel à mon expérience, pour concevoir ce qu’est la foi.
Pour ma part, puisque mon histoire est (je le crois) mon meilleur outil pour mettre en mot l’expérience qu’est la foi pour moi, je te dirai que j’ai longtemps abordé cette dernière à travers le filtre de mes blessures et les conséquences qu’elles avaient sur ma perception de la vie. Avec le recul et le travail que j’ai fait pour prendre soin de ma santé mentale, je peux observer que l’intimidation que j’ai vécue (pour ne nommer que cet exemple) a longtemps eu un impact majeur sur ma capacité à me faire confiance, ainsi qu'à accorder ma confiance aux autres. Je me sentais (inconsciemment et constamment) en état de survie (difficile, alors, de s’abandonner et de créer des relations d’où émane la confiance absolue de la foi). Je cherchais constamment à me protéger, à survivre et à ne pas être blessée. La foi, à ce moment-là, est donc une expérience souffrante, autant qu’inaccessible, parce que déformée par les œillères de mes blessures. C’est le chemin de la reconnexion à soi qui permet alors de guérir cette foi blessée. Tu as, toi aussi, ta propre histoire de vie, ton chemin de guérison qui se trace. Tu es invité à porter un regard de foi, de confiance absolue sur toi, sur l’autre et sur ta vie (ou la Vie, ou Dieu, ou son absence, selon tes croyances😅). Tu es invité à guérir tes fausses perceptions, celles qui ne te permettent pas de vivre cette confiance absolue dans toutes les sphères de ta vie. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Comment ce texte prend-il racine dans ta propre histoire? Quelles sont tes croyances par rapport à la foi?
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Texte semaine III - Jour IV
La créativité
« Cela m’amène à te parler de toi, de ce que tu désires vivre et du chemin pour arriver à l’expérimenter (souvent appelé « manifester »). Je ne vais pas te dresser une liste d’affirmations à énoncer à haute voix. Je ne vais pas non plus te dresser une liste d’étapes à répéter chaque jour.
Mon objectif, à cette étape-ci, est de t’expliquer les conditions favorables à la manifestation de ce que tu désires, puis de te laisser entreprendre ton propre chemin intérieur pour arriver à l’expérimenter. […]
Cependant, à mon point de vue, chaque personne est unique et, s’il existe des principes généraux qui peuvent te guider en lien avec les lois universelles qui font « tourner le monde », ta route ne peut être tracée que par toi, par tes désirs, tes passions, ton potentiel et ton chemin de guérison. La seule chose dont je suis certaine, c’est que tu vas y arriver. Peu importe les détours et peu importe le temps que ça prend, j’ai une confiance inébranlable en toi. (Et pendant que j’écris ces mots, je visualise chaque personne, individuellement, qui lit ces mots. Peu importe le temps, la distance ou tout autre facteur extérieur, je place toute ma foi en toi, tout comme je l'ai décidé pour moi un jour ❤️.)
Ainsi, pour en revenir à ton potentiel créatif, il prend racine dans la conscience de ta Nature lumineuse. Il prend également racine dans ta confiance absolue en cet Univers (qu’on l’appelle Dieu, la Vie, la Source ou tout autre nom) qui, par son champ magnétique et lumineux, te permet d’imaginer ce qui te tient à cœur, ce que tu souhaites vivre et qui te permet d’observer cette possibilité se matérialiser. Autrement dit, TU es invité à entrer en contact avec ta vraie nature, à t’y connecter, pour créer la vie que tu souhaites vivre. Pour ce faire, tu es invité à te sentir comme une partie de l’Univers, cocréateur avec cette Force qui crée le monde, la beauté, la magie et tant de merveilles!
Par la suite, lorsque ton être est au diapason (ou en alignement) avec tes rêves, tu peux faire ta demande. Ta demande, c’est ce que tu souhaites vivre. Elle te permet de profiter de ta vie, te stimule, t’apporte de la joie et t’aide à exprimer ton plein potentiel.
Tu es ensuite invité à cultiver la gratitude. Celle-ci est en lien avec le sentiment d’être reconnaissant. Pour donner un exemple concret, on l’expérimente souvent lorsqu’on reçoit un cadeau qui nous fait plaisir. Cette gratitude, donc, est ici en corrélation avec cette nouvelle fleur que tu as plantée dans ton jardin intérieur. Cette fleur stimule naturellement un état de gratitude, parce que tu sais que la réalisation de ta cocréation est en chemin et, en plus, tu sais que c’est ton rêve qui se réalise! Ajoute à cela, la foi ou la confiance. Elle est un autre ingrédient primordial, parce qu’elle est, en toi, l’assurance de ta capacité à demander et recevoir ce à quoi tu as droit. (Il n'est pas question ici du sens narcissique du terme, comme un enfant qui croit que tout lui est dû, sans ouverture réelle à soi et à l’autre, mais plutôt au sens de ta grandeur et de ta dignité.) La confiance en toi et celle en cette force qui t’habite et te supporte permettront le lâcher-prise inhérent à la matérialisation de ton rêve à travers les paramètres de l’espace et du temps.
Le secret, c’est de te sentir bien, tout au long du processus, de ressentir les émotions et de vivre dans l’état que tu souhaites expérimenter. Le temps et la matière suivront ton intention, ta foi et tes émotions. Par la physique quantique, nous avons compris que le temps est plus vaste que notre conception linéaire commune, nous permettant de ressentir, dans le moment présent, la réalité future qui nous sera alors proposée comme un présent🎁🥰. »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Je te laisse décanter tout cela. Accueillir ce que cela réveille en toi et pourquoi pas, discerner comment tu peux appliquer cela à ta vie?
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Texte semaine III - Jour V
Conclusion
Comment n’utiliser que quelques mots pour synthétiser notre pensée au sujet de la santé énergétique? C’est un bien grand défi et je te propose une version condensée de ce que j’ai pu écrire pour synthétiser ma pensée.
« Nous sommes infiniment plus grands que ce que notre perspective mentale et rationnelle peut concevoir à notre sujet et nous sommes infiniment plus puissants et plus précieux que nous pouvons nous l’imaginer.
C’est à la fois extrêmement simple et complexe d’aborder la perspective quantique de l’existence et surtout de l’exprimer de façon concise et brève. Néanmoins, je tenterai de condenser ma pensée par les quelques mots qui suivent : à mon sens, la physique quantique nous permet de nous ouvrir à d’autres dimensions, à de nouvelles conceptions au sujet de notre être, du monde que nous habitons et de l’Univers tout entier.
Plus près de nous, l’énergie fait partie intégrante de ce qui nous permet de demeurer vivants. En effet, grâce à cette force vitale qui existe en nous, notre corps, en l’espace de quelques jours, semaines ou années (selon le type de cellules, exception faite pour le cerveau ou les ovocytes [ces derniers ne se régénèrent pas]), se recrée presque en entier, renouvelant ses cellules et conservant l’équilibre des milliers de fonctions hormonales, physiologiques et biologiques qui maintiennent en notre corps un espace propice à la vie.
Je retiens également que la santé énergétique englobe l’ensemble de l’être. Elle tient compte à la fois des émotions, de l’esprit et du corps. Elle permet de créer une vie saine, de mettre en place des objectifs de santé et de longévité, mais elle s’adresse également au maintien, à l’amélioration et au retour d’un état de santé global (sous le signe de l’équilibre, de la joie, de l’amour, de l’accueil et du partage). »
Extrait du livre « La Rencontre » par Geneviève Poirier
Et alors, comment ta perspective de la santé énergétique a-t-elle évolué cette semaine? Est-ce un peu plus clair et concret?
Est-ce que ça te donne envie de changer certaines croyances ou de créer du changement dans ta vie?
Pour découvrir les soins énergétiques Tzifa, je t’invite à cliquer sir le lien ci-dessous:
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Tu trouveras ici les textes en lien avec la semaine IV
Texte semaine IV - Jour I
La vitalité
« Nous, les êtres vivants, sommes constitués d’énergie, une force vitale qui anime notre corps, notre intelligence, notre capacité à demeurer en vie, à réfléchir et à aimer.
Jusqu’à maintenant, il n’y a rien de nouveau sous le soleil : l’énergie vitale te permet de respirer, de digérer; elle fait battre ton cœur, déclenche des milliers de réactions hormonales dans ton corps, etc. Cette force qui te constitue est perçue de façons particulières selon différentes branches de la physique. Dans cette troisième partie, je fonderai mes propositions sur ce que nous a appris le domaine de la physique quantique. Bien que ce domaine en lui-même posent de grands défis sur le plan conceptuel, son efficacité en terme de « formalisme mathématique » demeure incontestable.
La physique quantique aborde de façon spécifique l’étude du vivant dans ses retranchements les plus poussés; entre autres, elle aborde l’aspect de l’infiniment grand et de l’infiniment petit. Plus spécifiquement, elle propose que la matière ne soit pas intrinsèquement constituée de particules solides, ou autrement dit, de ce que nos sens peuvent percevoir. On constaterait alors que la matière, de façon inexplicable par la physique classique, peut réagir à la fois comme une particule ou encore comme une onde. La matière, en fait, pourrait- elle être en réalité constituée d’un tissu énergétique?
[…]
Pour l’instant, je conclurais que notre esprit, notre cœur et notre corps sont en corrélation étroite et que le fait de les amener en cohérence permettra à l’énergie, à la force vitale qui circule en nous de se déployer et de maintenir en nous la santé du cœur.
Nous sommes donc invités à prendre soin de cette vibration que nous émettons; nous sommes invités à nourrir notre cœur, notre corps et notre esprit de nutriments qui élèvent la fréquence d’amour que nous émettons. Ainsi, nous stimulons la santé globale, nous prenons soin de nous et nous pouvons par la suite partager cette lumière avec ceux qui nous entourent.
Cette reconnexion à nous-mêmes que nous sommes invités à vivre émet un champ d’amour, par le cœur, qui invitera les autres à vivre, eux-aussi, une telle reconnexion. »
Extrait du livre « Le retour à la santé » par Geneviève Poirier
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Texte semaine IV - Jour II
L’intention
« Alors, tu comprends maintenant avec un peu plus d’acuité que nous sommes
composés d’un tissu énergétique et que cela a un impact sur notre être physique, psychologique et sur la réalité ou la vie que nous souhaitons expérimenter.
[…]
Nous allons maintenant découvrir comment l’énergie peut être au service de la santé globale et comment elle te permet d’être en harmonie avec toutes les
parties de ton Être.
Ainsi, nous avons parlé de l’observateur qui, dans l’avènement de la physique quantique, a permis de comprendre qu’une conscience que l’on croyait être
extérieure pourrait en réalité avoir un impact important sur l’action, la manifestation des particules.
Et que se passe-t-il lorsque nous sommes l’observateur? Il est difficile de
s’imaginer s’observer soi-même d’un oeil extérieur! Toutefois, c’est ce que nous sommes invités à faire afin d’avoir, par notre conscience, un impact sur la
manifestation de notre réalité.
Comment cela se fera-t-il Pour moi, la réponse tient en un mot : la méditation. Ce mot est utilisé par bien des pratiques et des courants spirituels, religieux ou
philosophiques. Encore une fois, je tenterai de l’utiliser ici sous sa forme plus organique, c’est-à-dire que nous la définirons, puis nous observerons des
méthodes de pratiques simples, qui sont en cohérence avec l’harmonisation de l’Être énergétique que nous sommes.
Ainsi, comme notre conscient est programmé à 95 % par notre inconscient, la méditation est une façon de dépasser la pensée ou le mental, afin de mettre fin aux ruminations négatives, qui sont souvent issues des croyances négatives ou des pensées délétères qui mènent inconsciemment notre vie.
La méditation est donc un premier outil d’observation consciente de soi, qui
permet de constater et de noter les schémas de pensée qui régissent de façon automatique (ou par défaut) notre flux de pensées habituel.
Ainsi, il est possible de méditer sur des sujets qui attirent notre attention et qui, dans l’instant présent, ne sont pas l’expérience que nous souhaitons vivre.
[…]
Je t’invite à prendre quelques minutes par jour afin de t’asseoir avec toi-même, dans un endroit calme. Je t’invite à respirer profondément, à laisser aller les
pensées et les tracas qui vont faire surface dans ton esprit. Laisse-les s’éloigner comme un bateau qui s’en va au large. Reste centré en toi, en ce corps qui abrite ton esprit et ton âme.
Je t’invite à observer ce qui est aligné à toi et ce qui l’est moins. Sois reconnaissant pour tout ce qu’il y a de beau en toi et dans ta vie. Porte ton attention un instant sur ce qui n’est pas en harmonie avec toi.
Je t’invite à ne pas te juger, à rester dans un état d’accueil. Je t’invite à te
questionner sur ce qui est discordant en toi. Demande-toi ce que tu peux faire pour t’aider, un peu comme si tu étais un parent pour toi-même. Laisse les
solutions venir à toi sans réfléchir. Elles pointeront « le bout de leur nez » au
moment où tu t’y attendras le moins, et surtout, au moment où ton Être sera prêt à les accueillir. »
Extrait du livre « Le retour à la santé » par Geneviève Poirier
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Texte semaine IV - Jour III
La gratitude
« Comme à l’habitude, nous commencerons par une définition de ce qu’est la gratitude.
La gratitude, c’est « se focaliser sur ce qui est positif maintenant et remercier qui ou quoi (selon tes croyances ou selon la situation) pour ce que tu as, ce que tu reçois ou ce qui se produit de beau et de bon à travers une situation. »
En allant un peu plus loin, j’ajouterais qu’à mon sens, la gratitude est également le fait de se sentir reconnaissant
pour tout ce qu’il y a de beau et de grand dans notre vie dès à présent. En effet, l’humain est un être de désirs et de besoins et cette réalité est fort bien stimulée dans notre société. Toutefois, lorsque je porte mon attention sur ce que je n’ai pas, je deviens une conscience qui se focalise sur le manque.
La gratitude est donc un chemin d’appréciation et de reconnaissance de tout ce que je cultive de beau et de grand en moi et autour de moi, m’apprenant ainsi à ne pas porter mon attention uniquement sur ce que je souhaiterais avoir.
[…]
C’est donc vraiment bon pour la santé globale de cultiver la gratitude! Alors qu’est-ce qu’on attend? Et qu’est-ce qui
fait que nous ne le faisons pas (pour la majorité d’entre nous) de façon innée ou spontanée?
Des chercheurs en psychologie ont étudié l’hypothèse du biais cognitif négatif. En résumé, ils ont constaté que l’être humain est d’abord un être de sentiments et d’émotions et que de ce fait, il n’évalue aucune situation de façon neutre. Il ressort également de ces recherches que l’humain se remémore plus facilement les défauts d’une personne, plutôt que ses qualités; ses échecs plutôt que ses réussites; les expériences négatives ou stressantes qu’il a vécues plutôt que les expériences positives. Ce constat, ou cette non-neutralité du cerveau, définit donc le biais cognitif. En d’autres mots, ce dernier est une distorsion, infligée par le cerveau, aux informations qui entrent et qui sortent du système cognitif.
Ceci étant dit, cet état n’est pas irrémédiable, bien qu’il soit un peu comme notre « mode par défaut ». Il est donc possible de s’entraîner à ressentir et à expérimenter la gratitude.
Cela nous permet de profiter de tous les bénéfices que celle-ci a sur notre santé globale. En effet, au niveau énergétique, la gratitude est un peu comme l’activation du mode de création de nouvelles possibilités. »
Extrait du livre « Le retour à la santé » par Geneviève Poirier
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Texte semaine IV - Jour IV
La connexion au coeur
« J’apprends doucement à rencontrer cet Être grandiose que je suis. J’apprends doucement à apprivoiser ma force intérieure, une force qui est harmonisée avec ce lieu en moi où pulse la vie : mon Cœur. Je l’écris avec un grand « C » parce que le cœur est bien sûr cet organe qui maintient la vie en propulsant le sang dans tous les vaisseaux de mon corps; mais il est également un organe, un lieu énergétique de mon corps qui propulse un champ électromagnétique qui peut s’étendre à plusieurs pieds (plus d’un mètre) de mon corps.
En effet, lorsqu’une personne a des troubles cardiaques, on lui passera des examens pour mesurer certains paramètres du fonctionnement de son cœur, dont l’électrocardiogramme, qui permet de mesurer l’électricité qu’il produit. Cet organe crée un champ électromagnétique 5000 fois supérieur à celui du cerveau, ainsi qu’un courant électrique 60 fois plus fort.
C’est impressionnant!
C’est donc dire que le cœur a une puissance électromagnétique des milliers de fois supérieure à celle de la psyché.
Nous avons discuté, un peu plus tôt, des limites de la pensée et du mental. Ce qui n’a pas de limites, c’est ton
Cœur! C’est là que se trouve ta vraie puissance et c’est là que se trouve ta vraie nature: l’Amour!
C’est si beau, oui?
Concrètement, ça veut dire que la science a exprimé, par l’hypothèse quantique, que tu es créé à partir de la plus haute fréquence énergétique, soit la lumière ou l’Amour, et que cette hypothèse a été mesurée de façon empirique, en constatant l’immense potentiel électromagnétique produit par le cœur. De nombreuses études menées depuis plus de deux décennies s’intéressent à cette intelligence quantique du cœur. Ce dernier serait un organe sensoriel, qui a la capacité d’apprendre, de se souvenir et de prendre des décisions fonctionnelles indépendantes; il serait comme un centre de contrôle qui joue un rôle important dans nos processus mentaux, émotionnels et physiques.
La fréquence du champ cardio-électromagnétique transmettrait les émotions et les intentions à travers le corps et vers l’extérieur.
Des études ont démontré qu’un transfert d’énergie cardio- électromagnétique se produit lorsque deux personnes sont assises à proximité l’une de l’autre ou lorsqu’elles se tiennent la main.
Le Cœur, pour émaner librement sa vibration ou son essence, a besoin d’être harmonisé à toutes les dimensions de mon Être.
Pour cela, je suis invitée à prendre soin de toutes ces dimensions qui font de moi l’Être que je suis. Nous l’avons constaté, la santé de ton corps, celle de ta psyché et celle de ton essence énergétique (ou de ton cœur) forment un tout. C’est en prenant conscience de ce fait, puis en liant ces éléments à cet état de confiance et d’émerveillement
que sont la foi et la gratitude que tu arrives à vivre la cohérence du cœur.
La foi est donc un état qui incite ton esprit et ton corps à être en vie! Par cela, je veux dire que la foi implique de quitter la survie que créent le stress chronique, la fatigue et la pensée limitante, pour cultiver la confiance, la conscience et l’intention de vivre en plénitude. »
Extrait du livre « Le retour à la santé » par Geneviève Poirier
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Texte semaine IV - Jour V
Le sens à la vie
« Sur le plan individuel, au-delà de ton corps physique et de ton esprit (le soi), se trouve ton « Être énergétique » (le soi supérieur). Celui-ci est ton essence, ta vibration unique et pure. Certains l’appellent l’Âme, moi je l’appelle le Cœur. Toutefois, peu importe son nom, dans sa définition, le Cœur est la force vitale qui anime toutes les parties de ton être.
[…]
Pour résumer, si tu es un être intrinsèquement composé d’une force vitale et que tu apprends à vivre en cohérence avec la nature (afin de prendre soin de ton corps); que tu apprends à connaître et à guérir ton esprit (les pensées limitantes, les croyances erronées, les blessures qui ont jalonné ta route); et que tu porte ton attention et ton intention sur cette force qui initie ce que tu es, tu entres alors en contact avec ton Cœur.
Voilà pourquoi j’appelle la santé énergétique « la santé du Cœur » : elle est le fait de prendre soin de cette énergie vitale qui permet ta vie. Elle est le fait de t’aligner avec cette fréquence lumineuse d’amour qui matérialise ton corps et toute l’expérience humaine que tu souhaites vivre.
Pour l’exprimer de façon plus poétique, le Cœur est l’étincelle de Lumière qui habite en toi. Il est la parcelle divine unique qui constitue l’Être magnifique que tu es. Dieu (ou peu importe le nom que tu lui donnes) n’est donc
pas une entité lointaine, distante et séparée de toi. Dieu est vivant en toi, en tout ce qui est. Il est cette force qui a initié la vibration de la vie. Il maintient l’équilibre en toi et au- delà de toi. Il est cette force à laquelle tu appartiens et qui t’invite à créer, par la cohérence avec ton Cœur, la vie dont tu rêves : celle qui te rend heureux, épanoui et libre.
[…]
C’est donc par l’alignement du corps, de l’esprit et du Cœur que tu arrives à vivre en harmonie avec tout ton être. Ce chemin est le même pour tous, puisqu’il tient compte de notre nature humaine et globale; et à la fois, il est unique à chacun, puisque nous avons tous un parcours de vie unique, qui nous permet de devenir la plus authentique version de nous-mêmes.
Ainsi, grâce à la science et par l’observation et l’étude du Cœur sur l’ensemble des fonctionnements de l’être et de ses interactions avec l’univers qui l’entoure, j’ai pu tracer un portrait de cette partie abstraite de ton Être, qui est à la fois mystère et matière.
La connaissance du Cœur est donc l’accès à ton essence, à ce qui te rend libre et heureux. L’harmonie du Cœur est ce qui te permet de donner et d’accueillir au sein de l’univers dans lequel tu évolues et les yeux du Cœur sont ce regard de foi et d’amour que tu portes lorsque tu observes le monde au-delà de ce que tes sens te permettent de percevoir. »
Extrait du livre « Le retour à la santé » par Geneviève Poirier
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Livre « Le retour à la santé »